Injections ARN : de la pharmaco-finance à la militaro-finance

On se souvient que pour le lancement de l’expérimentation ARN, il est établi que, globalement (et en dépit de fantasmes récurrents) les firmes pharmaceutiques n’y connaissaient à peu près rien, et y sont donc allées « à l’instinct », cet aveu à l’ingénuité très fleur bleue étant signé du toujours épatant Albert Bourla, Jouvencelle Exécutive près la chaire « Oser l’oseille » chez Pfizer.

On se souvient aussi que pour fourguer ces injections fulgurantes à la planète entière, les commerciaux de chez Pfizer se sont fendus de l’habituelle étude faux-cul par le miracle bien ordonné de laquelle 0,84 = 95 % (ce qui vaut bien l’efficacité de la patte de lapin) et que la presse toujours dévouée à la cause de la bien-pensance argentée s’est empressée de colporter bêtement.

Nous n’oublierons pas non plus l’aide gracieuse (enfin pas si gracieuse que ça) des familles parentes et alliées de la pharmaco-finance mondiale toujours bien appliquée Mc Kinsey aidant, à tordre si besoin était les bras (de chemise) de nos dirigeants en perpétuelle pamoison start’upée. Pour résumer, America is Great, d’ailleurs on nous l’avait bien dit.

Enfin et surtout l’argument a pesé très lourd, selon lequel avec cette géniale technique de l’injection ARN, il suffirait de s’adapter au moindre nouveau variant, et de produire à chaque fois un nouveau module fondé sur le nouveau bébé.

Aux orties incessantes et par avance donc la formule dite « wuhan » du nom du premier virus apparu en mars 2020, destinée seulement à lancer la machine, prête à être régulièrement remplacée par ses évolutions successives.

Et de fait, à peine les injections avaient elles commencé début 2021, que les annonces fleurirent en vue d’une adaptation imminente au variant anglais, puis au sud-africain.

Sauf que finalement, Big Pharma ne s’est pas trop précipitée puisque dans le même temps où était annoncé le lancement des processus d’adaptation, il était aussi insisté sur le fait que la formule initiale gardait toute son efficacité ! Trop fort ! Et du coup le tam-tam permanent en vue de nouveaux « vaccins » servait en définitive surtout à promouvoir le maintien de l’ancien.

Même cinéma donc pour le variant Delta dès juin 2021, avec la précision que les promesses (avortées donc) d’adaptation du « vaccin » à ce nouveau variant furent tellement au top-Manu qu’elles cohabitèrent même sans problème avec la grande trouille montée en haut lieu qui servit à imposer l’injection obligatoire ! Le delta était tellement dangereux qu’il fallait imposer le vieux « vaccin » type « wuhan », via l’obligation des soignants et l’extension félone du pass sanitaire.

Et rebelote fin 2021 avec l’Omicron qui fut, comme Delta 6 mois plus tôt, simultanément objet de l’annonce d’un nouveau « vaccin » (« qui sera prêt en mars même si on n’en a pas besoin » … ) mais prétexte à l’obligation de la troisième dose du toujours vieux « wuhan » et à la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal.

Depuis le début, Big Pharma ne fait pas de la médecine mais des affaires, et rien que des affaires, avec l’aide servile d’un pouvoir politico-sanitaire en parfait VRP des piquouses amerloques et à mille lieues donc de toute idée même de santé publique.

Cela dit, et à la décharge de Big Pharma, il faut reconnaitre que cette constellation médicupide traverse chez nous en ce printemps 2022 une fort mauvaise passe : entre l’étiolement continu d’Omicron, l’arrivée des beaux jours et les cirques électoraux qui ont mis en sourdine le Grand Injecteur de la santé, toutes les conditions sont réunies pour que le Covid ne redevienne que ce qu’il est : une infection respiratoire parmi d’autres et qui se soigne très correctement pour peu que l’on daigne mettre en œuvre les protocoles de soins existants dont l’efficacité est maintenant démontrée, grâce notamment au gênant mais immense Didier Raoult.

Pour les firmes pharmaceutiques cette quasi insouciance générale doit donc être combattue et si en haut lieu, pour une fois, on la ferme, en sourdine Big Pharma s’active : il faudra réactiver la machine à pognon toutes affaires cessantes dès après les législatives.

Et comme Omicron ne fait plus peur à personne, malgré la théâtralisation grotesque de ses siamois BA2 et consorts, il faut trouver de quoi continuer à piquer la population, et ce sera donc au prix, comme on dit chez ces sagouins, d’une « stratégie multi-site ».

Premier axe : continuer tout de même à faire peur et à annoncer la « prochaine vague ». Et comme c’est toujours dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes, il suffit de sonner la diseuse de mauvaise aventure, nous avons nommé l’inénarrable Antoine Flahaut, jamais en retard d’une prévision, lequel nous déclare que la « prochaine vague » est pour demain (comprenez avant la mi-juin).

On observera l’habileté du calendrier qui collerait parfaitement à la séquence post-électorale de panique organisée. Mais surtout, cette lame de fond serait la bienvenue car (observons la finesse du trait), « les mutations des variants BA.4 et BA.5 (évidemment « davantage contagieux » / on connait le refrain) leur permettent d’échapper en partie aux vaccins contre la Covid ». La mère Flahaut est donc « pessimiste » (on s’en doutait un peu).

La suite est connue, il faudra bien repiquer avec le vieux « wuhan » auquel « le virus résiste », ce qui prouve qu’il est très dangereux, mais qu’on va injecter quand même puisque (en même temps) il reste efficace ( !), ce qui prouve bien l’utilité du pass vaccinal à relancer.

Voilà qui nous amène donc à la dose 4 pour tout le monde dès septembre 2022 afin de bien rentrer dans un hiver placé sous le signe de l’injection concentrationnaire, ainsi que l’on pouvait s’y attendre.

Second axe : il faudra bien un peu de nouveauté sans quoi même les « journalistes » vont finir par se rendre compte du cirque « nouveau variant / promesse de nouveau vaccin / injection de l’ancien ».

Et ces nouveautés sont multiples, mais rassurons-nous toujours fondées sur l’usine à fric ARN américaine.

Ce sera d’abord un « vaccin » à ARN messager dit « auto-amplifiant ». Mazette ! On en met moins, mais ça marche mieux, car « il s’auto-amplifie ». Comme autrefois le « Maxwell-qualité-filtre » au slogan (gnan-gnan) « ce n’est pas la peine d’en rajouter ». Et coup de bol devinez de combien est l’efficacité ? Pile 95 % …. Et bien entendu s’agissant des « formes graves ». Encore gagné.

Ce sera ensuite les vaccins « universels » ou comme on dit chez les spécialistes, des vaccins « pancoronaviraux ». Normal, qui dit pan-démie, dit pan-virus et pan-coronavirus.

Cela dit, le vieux « wuhan » fourgué à toutes les sauces nous paraissait déjà présenter toutes les qualités requises (y compris le pan – pancul-cul du pass vaccinal).

En fait non, car les nouveaux vaccins ARN « pancoronaviraux » seront basés non plus sur le wuhan, mais sur des « ARN messagers chimériques » et destinés « à contrôler la pandémie de SARS-CoV-2 ou à nous préparer à une éventuelle prochaine pandémie »

Le truc de rêve : ça fait tous les Covid, y compris les variants inconnus à venir, plus tous les coronavirus à venir (inconnus aussi). Efficace comme ça, selon nous, cette chimère, il faudrait à tout hasard (et sans attendre) la rendre obligatoire …

D’autant que cette saleté (à côté de laquelle Folamour c’est Bambi) cette fois est mise en œuvre par …. l’armée américaine (oui la même qu’en Ukraine).

Nous laisserons le lecteur consulter ci-dessous les détails de cette imminente invasion, passée comme si de rien n’était de la pharmaco-finance à militaro-finance.

Ca fait froid dans le dos.

Et assez mal au cul.

Pas sûr que cette fois les excuses du président suffisent …

https://www.vidal.fr/actualites/28477-vers-un-vaccin-universel-contre-les-coronavirus.html