Emmanuel Macron et Pfizer Inc : la Noce déteint

Oyez, oyez :

L’ Historiette des Amours de Monsieur Emmanuel Macron et de Mademoiselle Pfizer Incorporated

Brève chronique des jeunes mariés et de leurs Noces d’Étain.

On peut attribuer à Emmanuel Macron tous les défauts que l’on voudra mais du moins pas celui d’être bête. Et donc très tôt (à l’époque il ne compte guère que 35 printemps) le voilà négociant début 2012, le rachat par Nestlé de la division nutrition de Pfizer. Début d’idylle donc avec l’usine à Viagra (que jamais il ne dénigra, ne soyons pas ingrats).

Mais comme le relève la presse helvétique, le jeune « Macron avait déjà la tête ailleurs : ….. tout en conseillant Nestlé, le banquier continuait à s’entretenir avec les proches du futur Président ….. jusqu’à ce qu’on l’appelle à l’Élysée », incongruité fatale commise par un certain François Hollande en mai 2012.

L’élection de M. Macron à l’Élysée fut l’occasion de retrouvailles plus que chaleureuses, au point que le « Dolder » club «ultra-discret de la “big pharma” fut même reçu en grande pompe par l’Élysée soi-même le 9 juillet 2018.

Au fait quel est ce « club » Dolder ?

Le Point à l’époque (nous sommes deux ans avant le Covid …) nous éclaire :

« Le gotha de la pharmacie mondiale s’invite lundi [9 juillet 2018] à Paris, à l’occasion du “Dolder”, un forum privé et dont les échanges restent secrets. De quoi alimenter les fantasmes déjà nombreux sur l’opacité de la “big pharma”.

“Ce n’est pas une secte !” défend avec ironie une source pharmaceutique française interrogée par l’AFP. “C’est un cercle de réflexion des grands patrons de la pharmacie mondiale, qui a lieu une ou deux fois par an”.

Le Dolder tire son nom d’un grand hôtel de Zurich, le Dolder Grand, sorte de château alpin avec des tourelles semblant tout droit sorti d’un film de James Bond, où ce cercle s’est réuni pour la première fois à partir des années 1970.

“Mais ça tourne désormais, il y a eu des rencontres aux Etats-Unis, au Japon, au Brésil, en Italie aussi”, selon la source interrogée par l’AFP.

Ce petit sommet d’environ 25 patrons est encore plus confidentiel que son modèle, le club Bilderberg, qui réunit chaque année à huis clos une centaine de personnalités du monde des affaires et de la politique.

Car à l’inverse du Bilderberg, le Dolder n’a pas de site officiel divulguant au moins le lieu et la date du rendez-vous, les thèmes des discussions et la liste des participants.

Ainsi, nulle mention du Dolder sur le site de la fédération internationale des fabricants pharmaceutiques (IFPMA), basée à Genève, qui en est pourtant l’organisateur.

“Les participants sont des PDG d’entreprises pharmaceutiques mondialement actives basées aux Etats-Unis, en Europe et au Japon, qui sont membres de l’IFPMA”, se borne à déclarer à l’AFP la porte-parole de cette fédération, actuellement présidée par Ian Read, le patron du géant pharmaceutique américain Pfizer.

Cette réunion privée “sert de forum pour une discussion sur les défis de la santé mondiale et les politiques de santé publique ayant un impact sur l’innovation biomédicale”, ajoute la porte-parole.

Le patron d’une grande entreprise du pays d’accueil de chaque Dolder joue d’habitude le rôle de maître de cérémonie. Aussi cette fonction incombera lundi à Olivier Brandicourt, le directeur général de Sanofi, qui “fera un discours d’introduction”, indique à l’AFP une porte-parole du géant pharmaceutique français.

Devant qui s’exprimera-t-il ? A titre d’exemple, l’AFP a obtenu confirmation de la présence de Kenneth Frazier (PDG de Merck & Co), Lars Fruergaard Jørgensen (Novo Nordisk), Stefan Oschmann (Merck KGaA), David Ricks (Eli Lilly), Kåre Schultz (Teva), Pascal Soriot (AstraZeneca), Michel Vounatsos (Biogen), Emma Walmsley (GSK) ou encore Christophe Weber (Takeda)…

La date et la tenue du Dolder cette année à Paris n’ont rien d’anodin. La réunion a lieu la veille du Conseil stratégique des industries de santé (Csis), une instance de dialogue entre l’Etat et les entreprises du secteur se réunissant tous les deux ans depuis 2004 sous l’égide du Premier ministre.

Par ailleurs, les PDG du Dolder seront reçus à dîner par Emmanuel Macron lundi soir [9 juillet 2018] a indiqué l’Élysée à l’AFP.

A l’époque le député François Ruffin s’était ému de cette réception sous les ors de la république, alors même que de nombreux scandales eurent au contraire requis de l’État une poigne de fer.

Apparemment ces demandes d’explication sont restées lettre morte, ce dont on ne s’étonnera guère aujourd’hui.

Du moins pouvait-on espérer que les liens étroits entre notre Président et Big Pharma nous ouvriraient, en cas de malheur, toutes grandes les portes de la médecine (mieux vaut en rire non ?)

Allusion finaude qui nous amène au Covid (dont on sait à quel point M. Macron s’est servi pour nous botter le cul) et à l’année 2021 de sinistre mémoire.

En cette année 2021 non seulement l’État n’a nullement fait valoir ses liens privilégiés avec l’industrie pharmaceutique étrangère pour faciliter le mise en œuvre des traitements mis au point par les sommités de la recherche française, mais pire et à l’inverse, le choix du gouvernement a été de tuer dans l’œuf toute perspective de soin précoce et de privilégier l’injection forcée de fioles expérimentales, au premier rang desquels le « vaccin » ARN signé Pfizer !

En ce début d’été 2021, l’agression de la population par les pouvoir publics se révèle au grand jour : malgré ses multiples engagements M. Macron impose le 12 juillet la vaccination obligatoire de la population. Le pass sanitaire félon destiné à forcer le bras aux récalcitrants est mis en place à la hussarde en bottant les fesses du parlement, à peine surpris d’ailleurs de cette volée de bois vert.

Et simultanément, le gouvernement dépêche à Marseille un nouveau dirlo à poigne chargé de mettre fin à la parenthèse Raoult, ce médecin irrévérencieux qui a le toupet de soigner ses malades. Quel manque de savoir vivre : a-t-on idée de gâcher ainsi une si belle épidémie ?

Fin juillet 2021 l’affaire est donc dans le sac, mais comme en France tout finit par des chansons, c’est le moment que choisit M. Macron pour recevoir derechef le Dolder à l’Elysée avec le faste princier que l’on sait (d’autres diraient un pognon de dingue), puisque à nouveau il s’agit d’un diner, rien que ça.

Ainsi, nous apprenons par la bande (tant la presse aux ordres a boudé ce “léger” détail) que le « Gotha de la pharmacie mondiale s’invite en catimini à l’Elysée » !

« Le soir du 02 août 2021 le président Macron a reçu au palais de l’Élysée le très opaque “Club du Dolder”, l’équivalent pharmaceutique du Bilderberg, actuellement présidé par…le numéro 1 de Pfizer. Date de réunion et ordre du jour secret, le « club ultra discret de la Big Pharma »selon l’AFP, réunit environ 25 des plus importants dirigeants de laboratoires pharmaceutiques , et il est curieux que le diner d’août dernier consacré semble-t-il au thème « Covid et innovation biomédicale » n’ait rencontré qu’un écho médiatique quasiment nul alors que le sujet pouvait susciter quelque intérêt dans le contexte actuel. Ce « Forum privé dont les échanges restent secrets » (AFP toujours) s’était déjà réuni en 2018 à Paris sous la houlette déjà d’Emmanuel Macron. »

Nous voilà rassurés : pendant les travaux le spectacle continue.

Étrangement cette réception du 2 aout 2021 ne figure pas à l’agenda de l’Élysée, contrairement à celle du 9 juillet 2018 (à la mention de laquelle M. Ruffin n’avait pas eu accès). Voir les copies des agendas ci-dessous.

On se demande bien pourquoi la réception princière du 2 août 2021 ne figure pas à l’agenda , sauf à tenter de cacher un secret par un autre, ou à sous-entendre qu’il s’agissait d’une réunion “privée, ce qui n’arrangerait vraiment rien à l’affaire …

De même qu’on se demande bien comment il peut être concevable que le Président de la République participe et accueille en son Palais la tenue d’une réunion de secte.

Enfin et pour résumer, comment peut-on simultanément, en même temps donc :

  • (1) imposer à la population des injections expérimentales délirantes, dangereuses et inefficaces
  • (2) forcer ces injections contraintes au prix de mesures coercitives contraires à toutes nos libertés fondamentales
  • (3) tenter de faire taire le Professeur Raoult et de détruire le protocole de soins de l’IHU (qui a fait en revanche la preuve de son efficacité) et
  • (4) en revanche recevoir à l’Élysée très discrètement le lobby caché (donc honteux) de la pharmacofinance ?

Comment ?

L’amour sans doute …

Dame ! Les noces d’Étain ça craint …

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