Le Docteur Andrea Stramezzi bien connu pour son soutien aux traitements précoces signale sur son compte twitter la parution d’une étude allemande démontrant la présence de spike dans les tissu cardiaques de victimes de myocardites post vaccinales.
Voir la mention de cette étude :
« Cette nouvelle étude, publiée le 21 juin dans l’International Journal of Molecular Sciences, montre la présence de la protéine spike dans le tissu cardiaque de sujets vaccinés atteints de myocardite en cours de réalisation :
[…] “Une analyse histopathologique complète de 15 patients présentant une suspicion clinique de myocardite après vaccination avec Comirnaty (Pfizer-BioNTech) ( n = 11), Vaxzevria ®(AstraZeneca) ( n = 2) et Janssen (Johnson & Johnson) ( n = 2).
L’analyse immunohistochimique de l’EMB a révélé une inflammation du myocarde chez 14 des 15 patients, avec un diagnostic histopathologique de myocardite active […].
Il est important de noter que les causes infectieuses ont été exclues chez tous les patients.
La protéine spike du SRAS-CoV-2 a été détectée de manière éparse sur les cardiomyocytes de neuf patients et l’analyse différentielle des marqueurs inflammatoires tels que les lymphocytes T CD4+ et CD8+ suggère que la réponse inflammatoire déclenchée par le vaccin pourrait être d’origine AUTOIMMUNE.
Bien qu’une relation causale définitive entre la vaccination par COVID-19 et l’apparition de l’inflammation myocardique ne puisse être démontrée dans cette étude, les données suggèrent un lien temporel.
L’expression de la protéine spike du SRAS-CoV-2 dans le cœur et la prédominance des infiltrats de lymphocytes CD4+ indiquent une réponse auto-immunologique à la vaccination […].
Les infections virales ayant été écartées comme cause de la myocardite/de l’inflammation du myocarde, des mécanismes auto-immunologiques pourraient être une explication.
La réactivité croisée des anticorps protéiques avec les protéines contractiles du myocarde, la réactivité immunitaire de l’ARNm et l’implication hormonale ont été discutées comme mécanismes potentiels par lesquels les vaccins à ARNm COVID-19 induisent une hyperimmunité.
Dans la cohorte actuelle, on a constaté que la protéine spike du SRAS-CoV-2 était exprimée sur les cardiomyocytes chez 9 des 15 patients. Par conséquent, la protéine de pointe codée par le vaccin semble atteindre le cœur, où elle pourrait déclencher une réponse inflammatoire, entraînant le développement d’une myocardite ou d’une DCMi. ” […]
Voir aussi et surtout, pour les spécialistes, l’étude complète.