Un Comité de veille (et d’anticipation) des risques sanitaires littéralement « déso(pi)lant » …

Nous avions déjà eu l’occasion (c’était à propos de notre Pfizeraï Lama) de relever les dérives autistiques d’un pouvoir en boucle maniaco tsoin-tsoin sur ses mantras obsessionnels, au prix de « comportements répétitifs, intérêts restreints, mouvements répétitifs ou compulsifs, intolérance aux changements ou à l’imprévu ». Passons.

Cet été déjà par ailleurs il nous fallut d’emblée stigmatiser l’immédiate dérive du tout frais Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (COVARS) dont à peine bombardée et sans avoir procédé à la moindre analyse, la présidente Brigitte AUTRAN nous lâchait une soigneuse bordée de science infuse, d‘autant plus indigeste que contraire aux évidences les plus criardes.

Il est vrai que question lecture des lignes de la main, version Big Pharma, la Dame se trimballe le passif assez lourdaud de qui déclarait le 26 novembre 2020 (alors que pas la moindre injection de « vaccin » ARN n’avait encore été pratiquée !) : “Les essais cliniques montrent qu’il n’y a pas d’effets indésirables graves” à la vaccination au Covid-19… ».

Quand on a proféré ce genre d’axiomes médicommerciaux, on peut dire beaucoup de choses et manifestement ladite Présidente Nunuche ne s’en prive pas trop puisque ce matin « déplorant le niveau «désolant» de la vaccination contre le Covid-19 …. C’est vraiment désolant que les Français ne se vaccinent pas, ou pas assez », ajoutant même « On a le même problème avec la grippe : il y a un niveau moindre de vaccination cette année, par rapport aux années précédentes ». Sans rire ?

Et le tout (dans l’absurde, il ne faut jamais mégoter) sans oublier les soignants : « c‘est aussi une décision politique, mais nous considérons que les soignants doivent être vaccinés.  C’est une question de responsabilité. Celle du soignant vis-à-vis de ses malades est de les protéger et de se protéger ».

Les soignants suspendus apprécieront au passage le suave renvoi d’ascenseur à l’Amiral Pandémique, qui lui, à l’inverse, attend sur les scientifiques. Coup droit de Macron, revers d’Autran. Merci, on fermera.

Pour le reste, très manifestement, ni le COVARS, ni sa présidente, ne se sont penchés sur le désastre des pseudos « vaccins » ARN, ni sur leur absence totale d’efficacité (notamment contre la transmission), ni sur l’évidente perte de confiance de la population envers un système politico sanitaire aux abois, dont tout démontre mois après mois à quel point l’obsession de la rente fournie aux industriels du médicament écrase tout sur son passage.

Autisme ?

Oui, et désolant.