Ursula VON DER LEYEN (et son Doudou) dans le collimateur de la justice …. en Italie !

Et de deux pour l’Italie : c’est bien chez nos voisins (et non chez nous rassurons-nous …) que la justice est saisie de 20 plaintes dirigées contre Ursula Von der Pfizergate et son doudou, le petit Heiko …

(Pendant ce temps à l’Elysée …)

Extraits de « Infosannio » :

« Vaccins, négociations Von der Leyen-Pfizer : plainte auprès de 20 parquets :

La plainte a été présentée par Me Vincenzo Perticaro, avocat du syndicat USB motifs pris des conflits d’intérêts du mari de la présidente de la Commission européenne au « Pfizergate », en passant par les contrats secrets avec Big Pharma.

Les faits rapportés dans la plainte sont connus, mais ils offrent aux bureaux des procureurs de la moitié de l’Italie, s’ils se considèrent compétents, la possibilité d’intervenir sur la gestion de l’achat de vaccins anti-Covid par la Commission européenne et en particulier sur le contrat de mai 2021, négocié directement par la présidente Ursula von der Leyen avec le PDG de Pfizer Albert Bourla. Et d’obtenir les documents manquants.

C’est la négociation des fameux textos échangés entre les deux, que le Médiateur et la Cour des comptes de l’UE n’ont pas pu obtenir. Une négociation menée sans l’aide des représentants des gouvernements et des experts des États membres qui, contrairement à ce qui s’est passé pour les dix autres contrats sur les vaccins anti-covirus, se sont retrouvés à approuver les choses après coup, sans avoir participé à la décision de s’adresser à un seul fabricant – justifiée par la Commission par la plus grande capacité de production de Pfizer-Biontech – et d’opter pour une quantité potentielle de 1,8 milliard de doses.

La plainte a été déposée dans plus de 20 parquets, par l’avocat Vincenzo Perticaro …… Il met en perspective une série d’interventions de députés européens, de la Française de gauche Manon Aubry qui, en octobre 2021, a attaqué la Commission pour le secret sur les prix et sur certaines clauses des contrats, justifié par les besoins des producteurs privés, au Croate Mislav Kolakusic. Il mentionne le Pfizergate, et l’affaire des irrégularités de procédure dans l’essai Pfizer rapportée par le British Medical Journal.

Et il reconstitue l’affaire embarrassante du mari de la présidente de l’exécutif européen, le docteur Heiko von der Leyen, directeur de la société Orgenesis, qui s’occupe précisément de technologies génétiques et qui a été contraint de démissionner le 29 octobre dernier du comité de surveillance d’une fondation de l’université de Padoue créée pour la recherche sur les médicaments à ARNm avec la participation de grandes entreprises pharmaceutiques dont Pfizer, Biontech et AstraZeneca, financée pour 320 millions d’euros par le Pnrr et donc avec des fonds européens.

Un conflit d’intérêt gros comme une maison, d’autant qu’Orgenesis est resté dans le projet.

Perticaro joint également à sa plainte une étude du professeur Marco Cosentino, professeur de pharmacologie à l’université d’Insubria et responsable en Italie de la commission médico-scientifique qui critique les stratégies de vaccination, sur certains effets indésirables particuliers et inquiétants des vaccins à ARNm. Sur cette base, l’avocat demande la saisie des dossiers de la Commission, des SMS et des documents relatifs à la composition des vaccins.

Nous ne sommes pas contre les vaccins, mais contre ceux qui ont pu spéculer sur eux », a déclaré M. Perticaro à The Fact, « Nous ne sommes pas contre la pharmacologie ou la médecine, mais contre ceux qui en font un usage déformé ». Nous avons demandé d’enquêter sur les contrats, les coûts appliqués, les procédures mises en œuvre et tout comportement illégal qui aurait pu porter préjudice aux Italiens, y compris celui de la présidente Von der Leyen et de son mari ».

La plainte fait état d’infractions de corruption, de fraude aggravée et de fraude à l’approvisionnement public. Et la compétence territoriale ? Le parquet de Rome peut être compétent, a répondu M. Perticaro, pour tout délit commis au détriment de l’État italien ou des citoyens italiens. Ou encore le Parquet de Padoue pour la Fondation. Mais tout parquet enquêtant sur les plaintes déposées au sujet des effets indésirables graves des vaccins Covid pourrait avoir intérêt à saisir la documentation, encore largement secrète, de la « Commission européenne ».