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On sait à quel point l’usage immodéré des cabinets de conseil par SAS-ARN, le Prince Régnant Messager a permis de diriger le pays d’une main de fer sans même en référer ni au gouvernement et encore moins à la députation.

Encore fallait-il (tenter de) doser la dureté du knout afin de laisser respirer la population de façon judicieuse, ni trop, ni trop peu, histoire d’éviter qu’elle ne moufte.

Ce qu’on sait moins donc (mais que pour une fois nous apprend la presse) c’est que l’acceptabilité des mesures à venir était régulièrement testée au prix de sondages quasi permanents.

« En deux ans, le service d’information du gouvernement a eu recours à plus de 225 études, pour un montant minimal de 2 millions d’euros »

« Durant les années 2020 et 2021, confronté à la pandémie de Covid-19, le gouvernement a déployé un dispositif inédit pour suivre l’état de l’opinion ….. des enquêtes destinées à éclairer l’action du pouvoir »

Et l’acceptabilité même des mesures en cours ou à venir, était bien au cœur des enquêtes :  

« De la connaissance des gestes barrières dans la population, à son état d’inquiétude jour après jour, en passant par son jugement de l’action du gouvernement, l’éventail des questions posées est très large, les études d’opinion servent aussi à tester les futures annonces, afin d’en mesurer l’acceptabilité »

Ainsi « Le 5 février 2021, alors que les cafés et restaurants sont encore fermés, les Français sont sondés par l’IFOP sur l’idée d’une réouverture le plus tôt possible seulement pour les personnes vaccinées »,  soit le principe du pass vaccinal que le pouvoir testait donc (et alors même que la vaccination venait de commencer), trois mois AVANT la mise en place du pass sanitaire et dix mois AVANT celle du pass vaccinal.

En droit, cette attitude porte le nom de préméditation.

Bien pire, le pouvoir est allé jusqu’à tester « l’obligation vaccinale, assortie d’une amende en cas de non-respect …. le refus des personnes non vaccinées en réanimation …. tout comme le déremboursement de leurs frais d’hospitalisation »

En haut lieu donc, la question s’est donc très sérieusement posée, après avoir refusé de soigner et de prendre en charge précocement les malades, de sanctionner financièrement les réfractaires à la piquouse américaine et …. de les laisser crever.

La démonstration est-elle faite de l’amoralité complète parvenue au pouvoir pour le seul et entier bénéfice de la pharmaco-militaro-finance mondiale ?

Ou ne s’agit-il que (et pour cinq ans de plus) de « continuer de construire des progrès pour chacun » et « d’inventer une méthode nouvelle » ?

Réponse les 12 et 19 juin prochain.