Perforfamillumab II : le retour

Nous avons glosé il y peu (voir notre récent billet ad hoc) sur les “perfs” assez consternantes de la nouvelle piquouse “Beyfortus”, lancée en grande pompe version H.A.S.O.S., en vue du prochain défilétalage de la collection bronchiolite Automne – Hiver 2023 / 2024.

Pour la lecture de la splendide étude, brandie façon pieds nickelés par les concocteurs dudit liquide pour cuissot de bambin, nous avions cité l’excellent article publié par le Dr Michel de Lorgeril qui règle son compte à ce poulet en deux coups de cuillère à pots.

Or le Docteur de Lorgeril vient de publier une seconde analyse à propos cette fois des “vaccins” destinés à d’autres classes d’âge. Nous recommandons vivement la lecture de cette seconde étude.

Le lecteur y lira de façon éclatante que la méthode fallacieuse et hypocrite consistant à présenter comme absolus des pourcentages d’efficacité qui ne sont que (très) relatifs, se généralise : des pourcentages annoncé de 85 %, 83 %, et 69,8 % présentés comme (absolu-ment) dorés sur tranche sont en fait des chiffres relatifs, les données absolues réelles n’étant que de respectivement 1,2 %, 0,26 % et 1,04 % !

Nous en avions découvert et stigmatisé les abus lors de la promotion auto-théatralisée du prétendu “vaccin” anti-Covid by Pfizer.

Il s’agit maintenant d’une tromperie systématique à visée purement commerciale sans que personne en haut lieu ne moufte !

Quand un vigneron se trompe sur son étiquette (imprimeur aidant) et y mentionne 13° au lieu de 13,5°, ou, pire, omet le logo Dousteblazydicule de le nièce grosse, le service des fraudes fond sur lui tel un gyparouète LeMaire subodorant l’hectare.

Mais quand les multinationales du médicament trompent le public sur sa santé … alors là, comment dire, et bien en fait, RIEN.