Après l’Italie, c’est donc au tour de la Grèce de réintégrer les soignants qui avaient été exclus pour refus de se faire fourguer l’injection ARN Pfizex-périmentale.
La France reste donc la dernière zone de non-droit, littéralement arcboutée sur les violations de droit flagrantes commises au préjudice de dizaines de milliers de familles, pour les seuls beaux yeux de l’industrie du médicament.
Piètre consolation : ce refus d’arrière garde uniquement destiné à ne se déjuger que le plus tard possible se drosse chez ses ultimes et piètres mercenaires toujours sur les mêmes arguments bidons proférés au prix de la plus parfaite mauvaise foi scientifique.
Prétendre comme notre ministre Charlie Brown il y a quelques jours encore que l’on ne peut pas « accepter que des non-vaccinés soient à côté de personnes fragiles » relève du pur délire paranoïaque lorsque l’on sait que précisément et au contraire cette injection génique d’ARN expérimental n’a rigoureusement aucun effet en matière de transmission : « Exclure les soignants en disant qu’ils font prendre des risques à leurs patients ne tient plus médicalement. Voilà pourquoi je pense qu’il faut les réintégrer » (Docteur Gérald Kierzek)
Quand à l’argument, selon lequel, « il y a aussi un problème d’éthique, car il y a des soignants qui ont accepté la vaccination » ( !), le coup bas s’avère d’anthologie puisque précisément les soignants qui ont « accepté » le « vaccin » l’ont fait sous le chantage même auquel se sont refusés les autres : prendre prétexte de ceux qui ont cédés pour justifier le maintien de la contrainte sur les autres donne une idée terrible des moyens qu’un exécutif despotique est donc prêt à mettre en œuvre pour asservir sa population …
Au sommet de la pyramide du pouvoir, la tartufferie est on le sait plus manifeste encore, entre le Chef de l’État qui dit attendre une décision « scientifique », et la réclame précisément aux mandarins affidés chargés autant de la refuser d’emblée que de lui renvoyer la patate chaude « politique ».
Evidemment aucun des sinistres participants à cette honteuse chorégraphie ne se demande, ne serait-ce qu’un instant, à quel degré à été porté le mal fait aux victimes de ce jeu de dupes en bande organisée ….
Que l’on ne se leurre pas toutefois : la responsabilité est collective : lorsque les historiens se pencheront sur cet épisode scandaleux de ce qui restera la lutte contre les injections ARN américaines, il leur faudra déterminer comment les quelque 577 députés, 348 sénateurs, 2000 conseillers régionaux, 4000 conseillers départementaux, 36000 maires, 78 députés européens ont pu laisser la monstrueuse machine politico-sanitaire broyer sous leurs yeux des dizaines de milliers de familles …
Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles …