- 18 septembre 2022 : Nous ajoutons ici le lien direct vers l’article présenté par Laurent Mucchielli (meilleure gestion de la mise en page pour certains navigateurs)
- Proposé par Laurent Mucchielli :
Dans le cadre des campagnes de vaccination de masse, les vaccins les plus utilisés dans les pays occidentaux sont basés sur l’ARNm. Certains pays ont imposé une vaccination obligatoire et de nombreux autres ont exigé un passeport vaccinal pour accéder aux transports publics et autres activités, produisant une discrimination systémique, une exclusion sociale, une ségrégation et une stigmatisation à l’encontre des personnes non vaccinées. Cet article vise à présenter plusieurs incertitudes scientifiques sur lesquelles, les objecteurs de conscience aux injections d’ARNm comme traitement préventif de la COVID-19, pourraient s’appuyer
Par Patrick PROVOST (professeur au Département de microbiologie – infectiologie et immunologie de l’École de médecine de l’Université Laval, Québec, Canada) ; Nicolas DEROME (professeur au Département de biologie, Institut de biologie intégrative et de ses systèmes, Université Laval, Québec, Canada) ; Christian LINARD (professeur au Département de chiropratique de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Québec, Canada) ; Bernard MASSIE (directeur général retraité du Centre de recherche en thérapeutique de la santé humaine, Conseil national de recherches du Canada, Montréal, Canada) ; Jean CARON (professeur retraité du Département de psychiatrie de l’Université McGill, Montréal, Canada).
Cet article est une traduction de « Potential Conscientious Objection to mRNA Technology as Preventive Treatment for COVID-19 », article scientifique publié dans International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 2 (2), August 23, 2022, p. 445-454.