B.A.2. : le B.A BA des abrutis

Compte tenu des gesticulations bon-sentimentesques en vogue comme du nullissime et grotesque macrothon pseudo-électoral, on attendait la ressortie des habituels imposteurs mandarinesques au plus tôt pour septembre, lorsque donc, Mc Kinsey dûment réélu, le pouvoir financier de l’étrangl’up nation pourrait imposer, en-même-temps, le choix entre l’injection forcée et l’enfermement numérique sélectif.

C’était sans compter sur le non-événement du sous-variant B.A.2. sur lequel s’est rué sans la moindre vergogne l’habituel troupeau des prédicateurs ratés qui encombrent depuis deux ans notre espace de leurs salades et de leurs incompétences cumulées.

Le tir nourri commence par l’OMS, cacochyme aréopage de borgnes mondiaux à la recherche permanente du scoop justificateur de budgets.

Ainsi c’est sur son inimitable ton catastrophiste de qui ne sait rien, mais nous dit tout quand même, que l’OMS s’épanche et accuse le 22 mars « les Etats » d’avoir levé « brutalement » les mesures de restriction, citant pêle-mêle l’Allemagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni, ce qui serait donc à la source d’une « remontée des cas ».

Le grief est d’une stupidité triplement achevée puisque :

(1) les prétendus allègements sont beaucoup trop récents pour expliquer une diffusion du sous-variant largement antérieure (en France la « levée » remonte au 14 mars cependant que l’Italie n’a même à ce jour rien levé du tout !),

(2) comme l’ont démontré (sous l’angle observationnel) les études de Stanford et de John Hopkins, aucune des mesures quelconques d’enfermement ou de pass sanitaire ou vaccinal n’a jamais eu le moindre effet sur la diffusion du virus qui fait ce qu’il veut dans les écosystèmes qu’il rencontre,

(3) la politique systématique d’injections expérimentales et de refus de soins prônée par la pharmaco-finance, à laquelle l’OMS s’est jointe sans le moindre état d’âme s’est avérée un échec complet,

De sorte que la moindre des résolutions que l’OMS pourrait prendre avec un minimum de dignité serait de nous faire grâce de ses annonces futuristes comme de ses prédictions à rebours, toutes et sans cesse aussi fausses qu’incongrues.

Mais évidemment quand le train de l’incurie est lancé, impossible de le freiner : à partir de là c’est open bar !

Se sont donc précipités dans le wagon-restaurant Pfizer, comme autant de jouvencelles au pas de gymnastique, successivement l’innénarable truite en chambre Fléhaut, le non moins Labo-compatible Yadlapanade, ou la revêche betterave des transports Castagliano, en attendant les Gilles de Rais ou Latrombine disponibles.

Tous bien entendu pour alerter, alarmer, dire leur inquiétude goulue (mais terrible) devant ce délicieux sous-variant…. mais aucun naturellement en revanche pour parler traitement ou prise en charge précoce.

Evidemment les coupables sont « les gens » (c’est vous) qui se sont « relâchés » !

D’ailleurs Le Monde, colporteur spontané de la vérité officielle, y est même allé de son lot de dragées révérencieuses à l’Institut Pasteur dont comme d’hab les gugusses modélisateurs se sont fendus d’une énième prévision prévoyant les effets d’un « relâchement des comportements … sur l’évolution du nombre de cas » ! 

Et donc si les cas augmentent c’est bien que relâchement il y a eu !

Et Le Monde de conclure « C’est ce que prédisait l’Institut Pasteur »

Facile l’épidémiologie : je vous dis tout ce qui va arriver, et dès que ça arrive un peu, c’est que je vous l’avais bien dit.

Et comme les évaporés de la seringue prévoient toujours tout et n’importe quoi, il en est toujours un pour sortir victorieusement la tête du wagon à bestiaux !

En revanche personne dans ce qui tient lieu de presse sous Napoléon IV pour faire la liste interminable et saoulante de leurs âneries emperruquées et autres impostures au carré débitées en continu.

On espère que le Professeur Perronne travaille au tome III de sa chronique : un sacré pavé en perspective !