La surcharge des hôpitaux manipulée par Big Pharma ….

Non contente d’avoir fait interdire la prise en charge par les médecins et d’avoir fait interdire tout traitement précoce,

Non contente d’avoir obtenu l’enfermement, la contrainte et le contrôle coercitif généralisé des populations,

Non contente d’être parvenue à instrumentaliser les tests à son seul profit, au nez et à la barbe de dirigeants complètement largués,

Non contente d’avoir promu à l’écœurement ses thérapies ARN, et d’avoir maintenant fait avaler au pouvoir sanitaire que vacciner voudrait dire remplir en permanence l‘organisme de spike viral,

Non contente d’avoir en définitive obtenu de nos gouvernements la léthargie et l’incompétence durables nécessaires à la satisfaction de sa cupidité financière,

Voici que la confirmation nous est apportée que Big Pharma gère aussi la communication et l’amplification de la panique par la manipulation de la surcharge hospitalière !

On se souvient des hauts cris du Dr Gérald Kierzek démontrant la réalité de la surcharge hospitalière à teneur même des publications officielles :

« La crise actuelle de l’hôpital, et j’allais dire même celle de 2020 soi-disant liée au COVID, est structurelle et liée au manque de lits et maintenant de personnels. Les patients COVID n’ont représenté que 2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020 selon le rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation qui collecte et analyse toutes les données hospitalières ! Bien loin du fantasme collectif d’un hôpital rempli de patients COVID avec des personnes ne pouvant être prises en charge et « triées » pour entrer à l’hôpital. »

https://basta-covid.fr/echec-au-roy/

En Suisse, même cinéma !

Selon les statistiques officielles, les chiffres du rapport 2020 sur les hospitalisations, publié le 19 novembre par l’Office fédéral de la Statistique, poussent à relativiser fortement l’ampleur de l’épidémie en Suisse :

« Moins de 3% des personnes en soins somatiques aigus étaient des malades du Covid-19. Ceux-ci ont totalisé 4,2% des journées de soins ….. Ces chiffres permettent de situer l’importance du coronavirus par rapport aux autres causes d’hospitalisations », étant par ailleurs précisé que les « Hospitalisations … par ailleurs, ont diminué de 5,8% par rapport à 2019 » !

Moralité :

Il est évident que dans de nombreux cas ponctuels, les soignants ont eu à faire face à de fortes charges de travail, que nombre d’entre eux sont éreintés, et que leur dévouement, comme toujours, fut indiscutable.

Il n’en reste pas moins qu’il n’y a aucune commune mesure entre la réalité des hospitalisations et la vision dantesque en permanence brandie par le pouvoir sanitaire pour obliger, forcer, contraindre, interdire, enfermer et injecter.

Les choses ont un nom et les crimes un mobile.

Dans tous les pays où les dirigeants se sont laissés circonvenir, embobiner, abuser, corrompre (d’esprit bien entendu) et mener par le bout du nez, le nom de la gestion de cette épidémie est celui d’une pure dictature sanitaire.

Le mobile est la cupidité financière des donneurs d’ordre.

Le jour où la Justice se penchera sur le sujet, les prétoires connaitront une surcharge à la mesure de celle prétendue des hôpitaux ….

Car la Justice passera.

https://www.covidhub.ch/covid-29-des-cas-graves-dans-les-hopitaux-suisses-en-2020/