Le FFP2 (très) supérieur au “vaccin” ARN !

Le temps se fait l’écho d’une étude conduite par des chercheurs de l’Université de Göttingen et de l’Université Cornell, à paraître ce mardi 7 décembre dans la revue PNAS, qui démontre que les masques faciaux, même s’ils ne s’adaptent pas parfaitement au visage, réduisent de manière importante le risque d’infection par le SARS-CoV-2, comparé au simple fait de garder ses distances.

« Pour parvenir à ces résultats, et compte tenu de la complexité de la transmission des maladies se propageant par aérosols (des gouttelettes respiratoires de petite taille), les scientifiques se sont appuyés sur des données relatives à la distribution de la taille des particules respiratoires, à la physique du flux respiratoire, sur les fuites possibles des différents types et tailles des masques faciaux mesurés sur sept sujets humains adultes respirant normalement par le nez, mais aussi sur le rétrécissement des particules respiratoires dû à l’évaporation, ou encore l’inhalabilité et le dépôt des particules virales dans les voies respiratoire ».

Sans surprise, « lorsque les deux individus portent un masque FFP2 bien ajusté » le risque est très réduit, « alors que la distanciation seule sans port du masque est associée à un risque d’infection très élevé »

Une preuve supplémentaire qu’encourager la bringue systématique entre vaccinés non masqués était la meilleure solution pour offrir au Delta un surf de rêve …

https://www.letemps.ch/sciences/un-nouvelle-etude-prouve-lefficacite-masque-contre-aerosols