Ainsi donc, dans cette partie de boomerang menteur, force sera restée à …. Pfizer !
Est-ce parce qu’il représenterait un danger que le joueur de tennis au plus* beau palmarès ne pourra pas jouer l’Open d’Australie ?
Que nenni !
Dans ce bras de fer particulièrement stupide, la justice avait fort à faire : entre un joueur contaminé en décembre et guéri (donc non contagieux) et un gouvernement hystériquement drivé par Pfizer, la justice (d’abord fort objective) a été sommée dans un second temps de se ranger du côté des laboratoires.
Le joueur est donc expulsé non pas au vu d’un danger expressément reconnu comme « négligeable » mais au nom l’ordre public !
Car le gouvernement pro-Pfizerissime australien voit dans le joueur non vacciné un véritable danger « susceptible de représenter un risque sanitaire pour la communauté australienne …parce que voilà qui encourage .. « le sentiment anti-vaccination » et pourrait dissuader les Australiens de se faire injecter leurs doses de rappel, alors que le variant Omicron continue à se répandre à grande vitesse ».
Evidemment le gouvernement australien n’avait que deux solutions : constater que l’explosion de cas est la conséquence directe (la lecture des courbes le démontre aisément) d’une campagne de vaccination, notamment de 3èmes doses, aussi délirante que pernicieuse, ou … plus radicalement expulser celui qui gêne la com des amerloques.
Dans un pays aussi autoritaire qu’innervé par la toute puissance US, le choix était vite fait : Novak Djokovic gêne parce qu’il incarne la seule chose qui révulse la pharmaco-finance mondiale : la liberté de choix.
Bravo donc Novak pour votre résistance.
* Avec Roger Federer (mais sans l’ibère Nadal qui en soutenant infantilement le gouvernement australien aura perdu l’occasion de se taire).