On sait que le « vaccin » ARN, quoique présenté par ses adorateurs comme une nouveauté géniale, n’a pas terminé sa phase III, censée s’achever selon les fabricants d’ici (environ) 12 à 24 mois, ce qui n’empêche pas de l’injecter de force, ou de gré contraint, aux populations du monde entier.
Les effets secondaires, indésirables, ou graves à long terme sont parfaitement inconnus et, quitte à chagriner quelques carabins bateleurs de foire recyclés en commerciaux des laboratoires, répétons que le nombre d’injections n’y fait rien, puisque la multiplication des injectés comme des doses ne peut pas remplacer l’écoulement du temps.
Mais ne croyez pas que l’on s’en désintéresse … pas du tout, du tout.
Les études sont même en cours pour savoir ce qu’il faut en penser.
Ainsi, à propos du risque de myocardites, les essais et suivis sont en cours et les rapports attendus fin 2024 à fin 2025.
De même pour le risque d’aggravation de la maladie par les anticorps facilitants (ADE) dont le rôle semble majeur dans l’explosion des contaminations chez les tri-dosés, l’étude est en cours. Rapports attendus pour fin 2023 – fin 2024.
En revanche on a « oublié » d’étudier la co-administration avec le vaccin contre la grippe saisonnière, de même que la sécurité à Long Terme (2 ans et plus).
Et à qui devons-nous ces aveux ?
A Pfizer pardi !
Et aussi, soyons justes, à Réinfo Covid et à la Coordination Santé Libre qui alertent sur la mise à jour du « risk management plan de Comirnaty (Pfizer, 15/12/21) » (Encore de l’amerloque, c’est mon pote Manu trop top qui va être content).
Document Réinfo Covid à lire ou télécharger en intégralité ci-dessous.