La « vaccination » ARN – ADN sans effet sur la baisse des « cas » !

Beaucoup de guillemets dans ce titre, mais nous ne pouvions guère moins faire !

Guillemets à « vaccins » d’abord : certes les mécanismes ARN ou ADN, qui ont pour but de faire fabriquer de la spike, conduisent à la fabrication d’anti-corps (un peu partout d’ailleurs). Mais il reste que les qualités proprement « vaccinales » de l’opération demeurent d’autant plus sujettes à caution, pour ne pas dire suspectes, que promues par un concert assez discordant, fait de bla-bla politicard, de mantra pseudo scientifique, quand ce n’est carrément de pure contrainte aux relents autoritaires de moins en moins sanitaires …

Guillemets également à « cas » : car ici tout humain convenablement constitué a compris depuis belle lurette que l’empilement des « cas » frise la guignolerie complète. Même en oubliant un instant le caractère approximatif de la mesure, et son instrumentalisation médiatico-sanitaire, il reste qu’en rendant payants les tests au 15 octobre dernier, en faisant donc passer la contrainte vaccinale bien avant la détection de la maladie (et ne parlons pas du soin !), le pouvoir sanitaire a achevé de décrédibiliser cet épidémiomètre paranoïaque (c’est au moins cela de gagné).

Voir également notre étude du sujet : https://basta-covid.fr/testez-testez-testez/

Mais, soyons bon prince et donc observons la “corrélation”, s’il en est, entre l’évolution des « cas » et celle de la « vaccination », puisque vient de paraitre une grande étude sur le sujet.

Nous parlons d’une étude véritable, observationnelle, et non pas des fantasmes psycho-modélisés dont le pouvoir aime à s’entourer.

Cette étude, conduite par l’Université d’Harvard, se passe de tout commentaire tant ses constats et conclusions sont clairs.

« Les augmentations du COVID-19 ne sont pas liées aux niveaux de vaccination dans 68 pays et 2947 comtés des États-Unis.

Les vaccins constituent actuellement la principale stratégie d’atténuation pour lutter contre le COVID-19 dans le monde. …… Nous étudions la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés des Etats-Unis.

Au niveau des pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 au cours des 7 derniers jours. En fait, la ligne de tendance suggère une association marginalement positive, de sorte que les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est entièrement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal ….

Le recours exclusif à la vaccination comme stratégie principale pour atténuer le COVID-19 et ses conséquences néfastes doit être réexaminé, surtout si l’on tient compte de la variante Delta (B.1.617.2) et de la probabilité de variantes futures.

Par exemple, dans un rapport publié par le ministère de la Santé israélien, l’efficacité de deux doses du vaccin BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) pour prévenir l’infection par le COVID-19 était de 39 %, ce qui est nettement inférieur à l’efficacité de 96 % obtenue lors de l’essai. Il apparaît également que l’immunité dérivée du vaccin Pfizer-BioNTech pourrait ne pas être aussi forte que l’immunité acquise par la guérison du virus COVID-19.

En résumé, même si des efforts doivent être faits pour encourager les populations à se faire vacciner, ils doivent l’être avec humilité et respect. Stigmatiser les populations peut faire plus de mal que de bien »

Ajoutons que Réinfo-covid qui a analysé les mêmes données parvient à des conclusions identiques :

Si la vaccination permettait de diminuer le nombre de cas, alors on observerait une ligne descendante de la gauche vers la droite. Ce n’est pas ce que les auteurs observent. Paradoxalement, la ligne calculée est en fait croissante, indiquant une augmentation du nombre de cas Covid-19 avec l’augmentation du taux de vaccination. Ceci est évidemment complètement inattendu et contre-intuitif, et est probablement le résultat de l’effet « ADE », pour « Antibody-Dependant Enhancement”, décrit par ailleurs sur le site. Nombreux sont aujourd’hui les scientifiques qui pensent que non seulement l’efficacité de la vaccination est, dans le meilleur des cas, transitoire, mais qu’en plus elle pourrait être néfaste. Tout ceci indique que la notion de « vaccination altruiste » présentée par nos politiques comme incitation à se faire vacciner semble être une vue de l’esprit. L’avenir et l’étude des données observationnelles permettront de clarifier la situation. D’ici là, le bon sens voudrait que l’OMS commence à inciter les pays récalcitrants à améliorer leurs offres de soins précoces, efficaces pour limiter l’impact de cette maladie qui affecte très majoritairement les plus fragiles »

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

https://wiki.reinfocovid.fr/_media/newsletters/newsletter_du_22_octobre_2021/la_vaccination_de_diminue_pas_le_nbre_de_cas_de_covid_19_fin.pdf