Les nouvelles alarmantes au sujet de la nocivité et de l’ARN injecté et de la protéine spike se multiplient chaque jour.
Dernier en date, le Dr Charles HOFFE , spécialiste à LYTTON BC Canada explique que les ARN messager injectés ne restent que très très partiellement dans le bras où ils ont été injectés (pas plus de 25% !) et s’en vont faire fabriquer de la spike un peu partout, avec pour conséquence des risques cardiovasculaire considérables chez la majorité des patients « vaccinés ».
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