Les régimes autoritaires ont plus encore que d’autres besoin de penseurs officiels, maitres de conférence en disponibilité, chroniqueurs auto-bombardés, ou philosophes sur le retour.
Il faut bien éclairer les despotes ….
Second passage donc de Michel Onfray qui entre deux livres a la bonté de nous lâcher de ces banalités qui plairont aux maitres des lieux : ne pas fâcher les médias qui donnent asile tout en ayant l’air de penser ….. quel talent !