Secondaires …… les effets ?

Qu’est-ce qu’un effet secondaire consécutif à une intervention thérapeutique (un vaccin par exemple) ?

Vaste sujet évidemment, le plus surprenant toutefois étant qu’il puisse être affecté d’une géométrie à ce point variable !

De fait pour certains tenants du vaccin ARN, comme du vaccin ADN, comme également des vaccins à protéine recombinante, en bref de tous ces nouveaux vaccins « à spike », les effets secondaires sont vus comme imaginaires mais dépourvus de gravité, ou inexistants mais similaires à ceux de tous les autres vaccins !

Et du coup les effets secondaires graves sont réputés exister, oui mais ceux à court terme seraient connus, donc purgés, et ceux à long terme non répertoriés, ce qui n’est pas grave puisque le long terme, c’est déjà fait !

Cette vision abusivement réductrice de petites injections tellement inoffensives qu’elles sont rendues obligatoires, se révèle très largement dommageable : comment veut-on que la population puisse accorder quelque crédit que ce soit à ce qui est devenu un discours éhontément publicitaire ?

Ainsi c’est avec le même air de camelot menaçant qu’il prend pour commander un café (ainsi que pour tout le reste probablement) que le trois-quarts toulousain Jérôme Marty, carabin à ses heures, nous explique que vu le nombre de personnes vaccinées  « on n’a jamais eu autant de recul sur un vaccin » !

https://twitter.com/cnews/status/1415350509926588422

Si jauger la profondeur sur la largeur peut se concevoir en jeu à XV, il va être difficile de transformer cet essai ras-terre en matière médicale ! Un peu comme si faire 1.000 km sur cent voitures équivalait à un essai sur 100.000 km !

Ce genre de cohérence, finalement ça ne rassure pas trop ….

Si on veut être un peu plus sérieux, il faut bien distinguer ce qui est court ou long terme, ce qui est bénin, sérieux, préoccupant ou grave, ce qui est connu, avéré ou estimé.

Il s’agit d’un travail, non d’un champ de foire ou d’une troisième mi-temps …

Un peu de lecture donc : https://basta-covid.fr/vaccins-arn-adn-des-effets-pas-si-secondaires/