Pouffer n’est pas soigner …

L’Ivermectine est une molécule de la famille des antihelminthiques.

En médecine humaine : l’Ivermectine est commercialisée sous le nom de Stromectol ou Ivermectine Biogaran, et ses excipients sont : cellulose microcristalline, amidon prégélatinisé, butylhydroxyanisole, stéarate de magnésium.

https://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/affichageDoc.php?specid=62026945&typedoc=R

http://agence-prd.ansm.sante.fr/php/ecodex/rcp/R0214575.htm

En médecine vétérinaire : l’Ivermectine est commercialisée sous d’autres formulations, d’autres marques et surtout, avec d’autres excipients, parmi lesquels (selon les cas) : huile de ricin, Hydroxypropylcellulose, dioxyde de titane (E171), Glycérol formal, Propylèneglycol (E1520), Triethanolamine, Crodamol, Alcool isopropylique, etc …

Tout le monde sait que les formulations humaines et vétérinaires d’une même molécule sont très différentes. Tout le monde c’est qu’il serait hasardeux de gober les médicaments de son chien.

Hélas les vérités n’ont qu’un temps.

Qui aurait dit, il y a peu encore, que le corps médical aurait interdiction de soigner les malades, que certains mandarins de plateau TV feraient leurs choux gras de cette doctrine du non-soin, que de grands médecins porteurs de traitements ayant fait la preuve de leur efficacité seraient mis au ban, et leurs travaux dénigrés ?

L’ivermectine fait partie (à l’instar de l’hydroxychloroquine ou de l’azithromycine …..) de toutes ces molécules anciennes prescrites à très grande échelle et dont Big Pharma ne veut plus car elles ne rapportent plus rien.

L’Ivermectine (qui est même l’une des rares molécules à avoir donné un prix Nobel à ses découvreurs) était il n’y a pas si longtemps encensée par l’OMS qui indiquait sans réserve : « L’ivermectine est sans danger et peut être utilisé à grande échelle”, ce sur une page web devenue il est vrai fort difficile d’accès ( https://www.who.int/apoc/cdti/ivermectin/fr/ )

L’Ivermectine a montré son efficacité dans le traitement (au moins) précoce du Covid et les témoignages sont légions des résultats obtenus dans le monde entier par des équipes qui ont pu la tester sans hésitations ni risque : de fait en trente ans la base vigiaccess ( http://www.vigiaccess.org/ ) a relevé en tout et pour tout 16 décès (dont 15 dus à l’insecticide Lindane co-prescrit !) à comparer aux 3 695 décès dus au …. Doliprane ….. (vous avez bien lu !)

Mais évidemment la crème des pouvoirs sanitaires dirigés par Big Pharma est vent debout et exige un bel essai randomisé doré sur tranches, qu’à l’instar des pouvoirs publics, elle se garde bien de lancer, quand bien même le coût en serait dérisoire et le résultat très rapide ….

Alors, dans toute cette soupe de mauvaises intentions, les vies se font et se défont et avec elles les désespoirs de nombre d’entre nous.

Certains (par bonheur peu nombreux) ont donc commis l’erreur d’absorber de l’Ivermectine vétérinaire. Les excipients (et non la molécule même) les ont évidemment rendus malades. Ces gens sont des victimes du non-soin. Une honte de plus au tableau.

Que croyez vous que firent de cette histoire les tenants de notre bonne doxa du non-soin ? Lancer en vitesse les études qu’ils disent réclamer, se mettre enfin à étudier les montagnes de témoignages d’efficacité, prendre contact avec les équipes qui proposent ce traitement ? tout faire pour enfin soulager (au moins) une large part des malades grâce à, peut-être, une solution rapide, peu couteuse, salvatrice ?

Non, désolé mais là vous n’y êtes pas ; Mais alors pas du tout

Ce qu’ils ont fait ?

Ils ont pouffé … « vous n’êtes pas une vache ! »

Merci ….. euh …. Docteur !

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-les-autorites-sanitaires-supplient-les-americains-de-pas-utiliser-l-ivermectine-51819c06-03df-11ec-be5b-0c913f624818