Le site nombrilistico-gauchiste Mediapart mène depuis plus de 18 mois une violente campagne dirigée contre le Professeur Didier Raoult.
Si le fait, si l’agression répétée, sont établis, tous ignorent les raisons de cette haine gauchiste assez stupide : on ne comprend pas à quoi rime d’en vouloir à ce point à un si grand infectiologue.
Soyons patients : nous saurons un jour si cette haine recuite assez misérable est à ranger ou non au rayon des calomnies gratuites à côté de celles dont fut victime Dominique Baudis.
Pour l’heure, compte tenu que Mediapart dissimule soigneusement ses « sources » (ou ce qui en tient lieu) nous n’avons donc à nous mettre sous la dent que les publications mêmes du site, toutes signées rappelons d’une certaine Pascale Pascariello, fille d’un cardiologue marseillais fâché de longue date avec Didier Raoult.
On se souvient que les accusations assez grotesques d’essais « sauvages » de traitements contre la tuberculose n’ont en octobre dernier pas tenu huit jours.
Il fallait donc relancer la machine à salir et c’est ce à quoi s’est attelé donc Mediapart le 19 novembre en annonçant que « les équipes de Didier Raoult » auraient dénoncé « les falsifications de leur patron sur l’hydroxychloroquine ».
Les « équipes » on l’a déjà compris se résument toujours à la même demi-douzaine de faux-culs assez haineux pour cafter vers qui s’abaisse à les entendre, et assez minables pour le faire sous le paravent de l’inviolable et sacro-sainte source journalistique.
Mediapart dit avoir « pu consulter un compte rendu des entretiens conduits, notamment, par l’Université d’Aix-Marseille, l’Inserm et l’AP » relatifs aux conditions de travail, qui auraient fait état de « pratiques scientifiques et éthiques regrettables » et dénoncé « la falsification de résultats biologiques afin de démontrer l’efficacité de l’hydroxychloroquine »
Ces entretiens d’octobre dernier auraient été conduits sous la « condition » de la « préservation de l’anonymat et de la confidentialité des échanges ».
Comme Mediapart admet que « l’Université d’Aix-Marseille ne commente pas », que « le directeur de l’AP-HM n’a pas souhaité commenter » et que « l’IRD et l’Inserm n’ont pas donné suite », il faut donc en conclure que les « sources » sont bien toujours les mêmes : quelques employés félons occupés à préserver leur identité pour mieux balancer.
Nous l’avons déjà dit : le juge d’Instruction va se régaler car il va bien falloir que ces délateurs miteux se découvrent et fassent enfin montre d’un minimum de courage.
Une fois expurgé de l’interminable et insipide bla-bla qui sert d’emballage à la calomnie, l’article ne contient ….. à peu près …. rien (!) , hors une fumeuse digression sur l’interprétation de seuils de test PCR sur laquelle l’IHU s’expliquera si besoin.
Un article calomniateur de plus donc.
Pouah, que tout cela sent mauvais.
https://basta-covid.fr/nous-sommes-tous-des-didier-raoult/