Dans son entreprise de vaccination forcée mondiale, l’hydre Pig Pharma bénéficie, on le sait, du soutien sans faille de la quasi-totalité des dirigeants occidentaux.
Et pour cause : labotomisés de longue date, ces apprentis-ersatz de la techno-finance amerloquanisée répètent en boucle les inepties les plus confondantes sans jamais ciller, tous impeccablement alignés en une irresponsable noria de robots cravatés, exécuteurs aveugles et pourfendeurs de nos libertés.
Le bât blesse toutefois singulièrement puisque la preuve est maintenant rapportée de plus en plus clairement que le « vaccin » ARN ne marche pas (ou si peu), qu’il ne sert à peu près à rien et qu’en rajouter sans cesse (deux à trois fois par an tout de même …) ne changera à peu près rien non plus, sauf à aggraver encore les effets secondaires, qu’il suffira il est vrai de nier crânement, sans jamais être contredit par une presse couarde, monocorde et servile suavement dévouée à ses maitres.
Voir sur cette inefficacité très évidente nos diverses publications et notamment :
https://basta-covid.fr/la-vaccination-arn-adn-sans-effet-sur-la-baisse-des-cas/
https://basta-covid.fr/quand-pfizer-demontre-linefficacite-du-vaccin-by-zola/
La conséquence la plus fâcheuse de cet échec pseudo-vaccinal mondial réside néanmoins d’abord dans la prise de conscience probable par les populations de deux faits majeurs :
Le fait d’abord que la mise à l’écart des médecins dès mars 2020 et la doctrine de non-soin systématique simultanée furent d’emblée hautement volontaires : le Covid serait donc la seule et unique maladie au monde qu’il allait être rigoureusement interdit aux médecins de soigner !
Le fait ensuite que l’injection forcenée d’une mixture expérimentale (entamée il y a 9 tout petits mois) ne répond en vérité à aucun objectif de santé quelconque, ni individuel, ni public, et que le pass est un pur apartheid maquillé en imposture pseudo-sanitaire.
Il est donc prévisible que, s’il n’y est mis prestement bonne ordre, le noyau des non-vaccinés ira très vite croissant, puisque sera bientôt considéré comme tel tout évadé qui, ayant ouvert les yeux, aura esquivé la moindre des perforations rendues obligatoires.
Compte tenu que les réfractaires aux injections accèdent regrettablement, et très légalement, au pass par la vertu de tests négatifs, il faut donc absolument faire perdre toute valeur certificatrice à ces tests, et ce sans plus attendre, c’est-à-dire avant que les injectés dans leur ensemble, ne réalisent l’origine, l’ampleur et les conséquences du mensonge officiel.
Première ici dans l’ordre des états alignés sur les desiderata amerloques, l’Autriche a déjà annoncé que dans certaines circonstances, le confinement sera rétabli, mais, uniquement contre les non-vaccinés. Un cran supplémentaire donc dans une ségrégation tout (an)schluss. Détail tordant tout de même : puisque les maitres de cet état volontiers autoritaire jugent le confinement efficace, les épidémies à venir seront donc exclusivement composées de vaccinés multidoses. On voit l’intelligence du projet.
Chez les voisins, un certain nombre de stupidités du même tonneau vont bon train et c’est donc cette fois vers l’Allemagne et la Suisse qu’il faut se tourner pour y lire les futures incohérences liberticides.
Le Temps, site suisse bientôt pro-vaxx officiel, n’y va de pas de main morte (enfin, morte, si un peu) en se jetant goulûment sur la dernière édition d’une feuille de choux campagnarde, nous avons nommé l’Aargauer Zeitung, autrement dit le Journal de l’Argovie, canton helvétique suisse-allemand où rire de la discipline n’est pas une discipline du rire, et il n’y a pas vraiment là qu’un compliment.
Et que dit le journal de par là bas ? Allez, trois fois rien : « Accès au restaurant uniquement pour ceux qui ont été vaccinés ou qui se sont rétablis ! est-il indiqué sur le panneau à l’entrée d’un restaurant de la Domplatz à Erfurt » (Allemagne).
Ce que Le Temps, fidèle zélé de la perforation ARN outrancière, s’empresse de traduire par un vaxxproximatif : « La pression augmente sur les tests …. la Suisse subit de plus en plus la pression de l’exemple de ses voisins, qui s’en remettent aux seuls vaccinés et aux guéris, et plus aux testés, pour les certificats. Le groupe de travail sur le Covid explorerait l’idée de ne plus admettre les tests comme sésames pour les événements à hauts risques, le but étant d’éviter que des personnes qui ont été testées mais qui peuvent encore être infectieuses (selon le moment de la réalisation et la qualité du test) soient acceptées dans des événements à haut risque de propagation »
Rien de tel pour l’heure évidemment. Mais, on le sait, il n’y a pas de mal à faire le mal (ou quelque chose comme ça). Et donc Le Temps va très au-delà (serait-ce une habitude ?) de ce qu’écrit son collègue et en profite pour faire dire que finalement seules deux voies donneraient droit au pass de la honte : la perforation contrainte spontanée ou la perforation obligatoire forcée.
Le propos est aussi inepte qu’irresponsable. Mais il est vrai qu’en ce Temps là, nous ne sommes probablement plus à une vaxxproximation près.
Quoique, peut-être, les mercenaires de la presse, de la politique et des autorités qui soutiennent cette gangrène mondiale devraient-ils refaire (heili, heilo aidant) le tour de leur table avec leurs chaises avant de continuer à nous piétiner.
Car que le peuple, le vrai, réalise ce qui lui est fait, et là c’en sera fait de tout.
A la fin tout se paie, surtout les conneries.