Il est tout à fait manifeste que nos dirigeants n’ont, de plus en plus souvent, pas la plus petite idée de l’effet sur nous, modestes citoyens, de leurs déclarations énoncées à l’emporte-pièce, quand ce n’est à l’emporte-liberté ….
En mai, puis en juillet, notre Président et sa division mécanisée législative nous assénaient successivement les textes instaurant sans crier gare le pass sanitaire, puis ceux l’élargissant à une somme d’activités quotidiennes, dont la liste à elle seule démontre qu’il ne s’agit que et exclusivement d’obliger sous la contrainte à la piqure litigieuse, dont il est établi qu’une forte proportion, sinon une majorité de nos concitoyens ne veulent pas,
A cette négation de nos libertés, notre Président ajoutait dans la foulée des déclarations pour le moins saugrenues signifiant au moins dans l’esprit une entorse évidente au droit de manifester dans le calme, si ce n’est même à la stricte liberté d’opinion !
Voir à ce sujet notre chronique évolutive : https://basta-covid.fr/paroles-de-notre-president/
C’est maintenant notre ministre de la santé qui interrogé sur les préavis de grève syndicaux dans la fonction hospitalière ne craint pas de remettre en cause le droit de grève !
« J’ai vu qu’il y avait un ou deux syndicats qui avaient fait un appel à la grève …… vient un temps où ces personnes-là n’auront plus le loisir de faire grève, puisque, par définition, cette obligation vaccinale s’appliquera»
Liberté quotidienne, droit à la santé, droit de circuler, droit à la liberté d’opinion, droit de manifester, droit de grève …… tout cela s’effiloche singulièrement.
Je t’aime un peu beaucoup ……