Papa, Maman, la bonne, le nucléaire et …. Macron

Nous avons connu des dirigeants dont la vision en imposait.

Au hasard :  Charles De Gaulle le 18 juin, Pierre Mendès France mettant fin à la guerre d’Indochine, le Général mettant les ricains à la porte, ou Mitterrand abolissant la peine de mort avec l’immense Robert Badinter.

Et puis nous avons aussi eu les tsoin-tsoins.

Au hasard toujours : le retour en talonettes de la France dans le commandement intégré de l’Otan, ou l’idée, tendance farce et attrapes, de faire venir à l’Elysée en tant que « conseiller » (on se demande bien de quoi) un certain Manu-les biftons.

Avec le susnommé nous sommes entrés, de surcroît, dans l’ère de l’indicible, du tsoin-tsoin décomplexé, celui des énoncés tellement débiles que même en petit comité personne n’oserait les prononcer.

Le Covid-19 nous a donné nombre d’exemples des délires possibles sous la plume des fameux pieds plombés Castex-Véran-Attal.

Mais il y a (beaucoup) mieux, quand le Cador régnant soi-même, nous la joue perso, façon roulette russe.

Car les projets nucléaires signés Manu-l’angoisse, dévoilés hier, sont à enregistrer à Sèvres, 3ème étage, première porte à droite, bureau des annonces étalon neu-neu.

Imaginer subvenir aux besoins énergétiques du pays en lançant une ou deux douzaines de centrales EPR que l’on est totalement et durablement incapable de faire marcher ?

On se croirait en campagne électorale, vous savez, ce pays étrange où on ne fait pas grand chose, où on balance sa trogne, mais où rien n’est jamais trop con ….

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