L’Organisation mondiale de la Santé n’a pas de mots assez incisifs pour nous dire (alors qu’elle n’en sait strictement rien) que le risque lié au variant Omicron du Covid-19 est « très élevé » à l’échelle mondiale en raison des « nombreuses mutations caractéristiques de ce variant (qui) pourraient lui conférer un avantage pour échapper à la réponse immunitaire »
Conséquence du fait que le variant Omicron pourrait se révéler insensible aux « vaccins » ARN, l’OMS « préconise donc une accélération de la vaccination » (on ne rit pas)
Moralité : il faut amplifier une thérapie dont on vous dit qu’elle ne fonctionnera pas. Quand un gamin de 8 ans dit ce genre d’âneries, en principe il se prend un verre d’eau …
Même son de cloches en provenance du Conseil scientifique Livid-19, pour lequel le « risque d’une diminution de la protection acquise grâce à une précédente infection ou grâce au vaccin est en conséquence élevé », en conséquence de quoi, ledit conseil souligne « l’importance de relancer …….. avec l’injection de la troisième dose de vaccin à ARN ».
Recette éculée donc de gestion de la pandémie :
Sous n’importe quel prétexte, même totalement contradictoire, y compris (voire surtout) quand on ne sait absolument rien, la démarche est parfaitement codifiée : affoler la population / renforcer les mesures coercitives / contraindre aux injections expérimentales.