Le Sénateur Philippe Bas, rapporteur au Sénat du projet de loi «vigilance sanitaire», concocté par Emmanuel Macron pour discriminer (sinon enfermer) durablement la population, ne mâche pas (trop) ses mots.
« La prolongation du passe sanitaire jusqu’au 31 juillet n’est pas démocratique … les mesures souhaitées par le gouvernement sont des dérogations à nos libertés… Nous n’avons jamais accepté de déléguer nos pouvoirs pour des périodes aussi longues…..La date du 31 juillet est «déraisonnable» et «pas démocratique» …. même si la prolongation du passe sanitaire est votée, il faut imposer des limites. Là où il a réussi pleinement, c’est-à-dire là où la vaccination atteint un maximum, il n’est pas nécessaire de le maintenir. En revanche, quand la vaccination est à la traîne, c’est un puissant instrument d’incitation à la vaccination», expose le parlementaire. C’est pourquoi les sénateurs vont proposer une territorialisation de ces mesures »
Le pass avait deux objectifs : l’un hypocrite, prétendant crânement freiner l’épidémie, l’autre (le vrai) sournois, visant à la vaccination forcée de la population.
Puisque cet objectif félon serait atteint, le Sénat refuse (non sans quelque cynisme sanitaire) de donner à Emmanuel Macron « les pleins pouvoirs ».
Des fois qu’il ne les aurait pas déjà …