Le Sénat a rendez-vous avec l’Histoire …. (de la pharmacie)

Nous autres français connaissons particulièrement bien le « coup de pied de l’âne » qui consiste à achever plus faible que soi sans trop se casser (disons …) le plot.

Et bien le Sénat est en train de nous en faire une démonstration in vivo !

Dans les manuels d’Histoire, façon Isaac « XXI – XXIII èmes siècles », nos descendants liront :

« Dans le premier quart du XXI ème siècle, la pandémie dite de Covid-19 fut gérée et mise à profit par le pouvoir exécutif (à l’époque il y existait encore un pouvoir exécutif absolu) pour renforcer son emprise sur la population et lui infliger en même temps qu’un mécanisme de pensée obligatoire, une large suite de mesures autoritaires et vexatoires parfaitement arbitraires, parmi lesquelles l’injection obligatoire graduelle et régulière de la population à l’aide de substances expérimentales, doublée d’une restriction systématique des libertés publiques et privées.

Un révolte de la population s’en suivit, salutaire et constructive qui amena ce système de pouvoir à sa perte. Les mois qui conduisirent à la disparition des structures d’oppression furent marqués par de nombreux événements d’importance institutionnelle. Parmi ceux-ci il faut noter la date du 31 août 2021, restée dans notre calendrier aujourd’hui encore comme la « journée des sournois » dont les événements se déroulèrent en pleine période de contestation populaire de l’obligation décrétée d’injection :

Alors même que le peuple français faisait entendre sa voix pour pacifiquement dire son indignation et réclamer au souverain la renonciation à cette mesure autocratique, l’assemblée mineure, dénommée à cette époque « Sénat » proposa à son tour l’obligation générale de la même injection.

Aujourd’hui l’idée qu’une structure institutionnelle sans aucun pouvoir réel adopte le point de vue du souverain oppresseur contre le peuple semble incohérente, insensée et pour tout dire autant ridicule que singulièrement inique. L’événement toutefois fut fort mal ressenti par la population qui eut vraiment l’impression que le Sénat profitait des circonstances pour exister aux yeux du souverain qui pourtant le méprisait donc souverainement.

Le souvenir de ces événements est resté dans notre Histoire comme « le Coup de pied du Sénat » , nom dès lors donné à ce qui était autrefois le coup de pied de l’âne »

Pour ceux qui souhaitent approfondir ces événements, les historiens ont retrouvé le texte déposé à l’époque.

http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html

http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.pdf