État d’urgence, conseil de défense, parlement croupion, presse aux ordres, médecine d’état, enfermements arbitraires, injections forcées, interdiction de vivre libre.
Ce n’était pas assez : il restait l’idée, la pensée, l’esprit.
Dans tous les régimes autoritaires sans exception, l’idée de la moindre dissidence rend fou.
Donc le pouvoir organise ce que l’on peut ou non dire, et bientôt ce que l’on peut ou non penser.
Ensuite il restera à brûler les livres …..
“C’est le propre de la censure violente d’accréditer les opinions qu’elle attaque.” Voltaire
Voltaire devait être complotiste !