« Avec le Covid, nous semblons avoir oublié les principes de base de la médecine et de l’immunologie »

Ainsi s’exprime le Docteur Gérald KIERZEK !

Voilà des propos qui font plaisir à lire et relire.

Nos autorités politiques et leur pouvoir sanitaire ont perdu la tête : littéralement tétanisés, hypnotisés par l’idée folle d’injecter de force la population entière au moyen de produits expérimentaux fourgués à la hussarde par la pharmaco-finance mondiale, aveuglés par la commodité de mesures coercitives iniques, nos dirigeants ont lancé le convoi fou d’une dictature sanitaire kamikaze dont ils ne maitrisent rien et en particulier ne connaissent ni le trajet, ni les freins.

Les incitent à toujours plus de folie et enchérissent vers toujours plus de déraison, outre une presse servile soigneusement tenue en laisse, tous ces mandarins de cours, égarés à mille lieues des plus élémentaires principes de santé publique, ivres de leur soudain pouvoir délirant de prédire à l’encan, « laboratomisés » au point de ne même plus savoir tenir le moindre raisonnement médical sérieux.

La prise en charge des malades ? Torpillée !

Le repositionnement des molécules anciennes ? Evacué !

La prudence dans la mise en place de traitements totalement nouveaux ? Oblitérée !

Le convoi fou kamikaze qui donc emporte 67 millions d’otages vers l’injection expérimentale forcée ? Plébiscité !!

Et voici que dans ce concert de folie, en pleine dictature sanitaire montante, alors que les esprits des résistants à ce massacre se désolent de jour en jour des mesures insensées assénées à la population, voici qu’un Homme parle et il s’agit d’un Médecin.

Et ce Médecin de remettre à l’heure deux ou trois pendules dont on rêve qu’elle sonnent enfin et fort dans le crâne hermétique de nos dirigeants :

Les facilités de contact pour les vaccinés ? le Docteur Kierzek dit sa désapprobation : « La vaccination n’est pourtant pas une garantie absolue de non-contamination et contagiosité, loin s’en faut ».

La vaccination des mineurs ? Les risques de formes graves sont très faibles et en revanche l’immunité naturelle dans cette classe d’âge ne peut être négligée :  « la circulation virale a minima chez les mineurs qui n’ont quasi aucun risque de formes graves est également intéressante sur le plan de l’immunité. De nombreuses études montrent que l’immunité naturelle postinfection est solide et participe à la protection individuelle et collective contre les virus »

L’obligation vaccinale de soignants est-elle normale : « Non. La seule logique est celle de l’exemplarité mais je ne tolère pas que les soignants au sens large, applaudis au printemps 2020 soient maintenant pointés du doigt et stigmatisés. Les soignants sont des gens responsables et dévoués et ne pas être vacciné n’est pas un acte criminel ! Sur le fond, le vaccin n’empêche pas d’être contaminé et contaminant ; il ne dispense pas des gestes barrières que nous appliquons tous au quotidien …..Il faut aussi s’interroger sur la forme et sur les motivations de ces soignants qui refusent la vaccination. Donner ou déposer ses informations médicales de vaccination dans un portail administratif de déclaration est inadmissible sur un plan déontologique ; où est le secret médical ? Cela prouve aussi que le dialogue est rompu à l’hôpital (ou dans le système de santé d’ailleurs) entre le « management » et les acteurs du soin, entre ceux qui décident et ceux qui font. On peut véritablement parler de maltraitance institutionnelle et de harcèlement maintenant, entraînant un cercle vicieux de démissions, départs et manque de personnels préjudiciables à tous et ayant aggravé pour ne pas dire causé la crise sanitaire. La crise est avant tout une crise structurelle de paupérisation et de pénurie de notre système de santé et de l’hôpital en particulier.

Le «monde d’après» est en train de devenir pire que le «monde d’avant» si rien n’est fait dans les prochains mois pour renverser la gouvernance, par exemple. La campagne présidentielle devrait être l’occasion de cette refondation majeure et attendue par les Français qui veulent être soignés. Les aberrations notamment en termes de dépenses publiques sont insupportables. En mars 2019, lors de la grève des urgences, les collectifs de défense de l’hôpital public demandaient un relèvement de l’ONDAM (Objectif National de Dépenses de l’Assurance Maladie) à hauteur de 4 milliards et ils se voyaient répondre qu’il n’y avait pas d’argent ; la crise COVID a coûté 424 milliards ! Plus modestement mais symboliquement, les contrôles de passe sanitaires à l’entrée des hôpitaux coûtent 60 millions d’euros par mois selon la Fédération Hospitalière de France. Ne croyez-vous pas que ces budgets pourraient être plus utilement affectés ? »

La course à la 3ème dose de vaccin ? risqué et dangereux : « La course au toujours plus est dangereuse si on ne respecte pas les principes de base de la médecine. La balance bénéfices-risques est un de ces grands principes. Qui bénéficie le plus du vaccin ? Les personnes âgées et à risque. Ce sont elles qui sollicitent le système de santé avec 95 % des patients en réanimation qui avaient plus de 65 ans pendant les précédentes «vagues». Sont-ils tous vaccinés ? Non. La logique est donc de chercher à convaincre et vacciner ceux qui ne le sont pas avant d’aller proposer une troisième dose ….. Un deuxième grand principe est le primum non nocere. D’abord ne pas nuire. Les études ne vont pas toutes dans le même sens pour démontrer l’intérêt de ce rappel vaccinal. Des autorités scientifiques américaines ne le recommandent pas comme encore récemment dans le Lancet. Nous assistons à une fuite en avant du politique, cautionné par quelques universitaires, qui mise tout sur la vaccination comme une panacée qu’elle n’est pas. Les études en vie réelle comme en Israël le démontrent »

La mesure de l’immunité ? Imaginaire à ce jour « Nous sommes à ce jour incapables de mesurer en routine l’immunité réelle conférée par le vaccin. Le taux d’anticorps brandi comme l’argument pour rebooster l’immunité est très imprécis : certains sont protecteurs, d’autres non, et l’immunité cellulaire, très importante en sus des anticorps, ne peut être évaluée. Pire, certaines études animales sur les coronavirus ont largement montré que des anticorps post-vaccinaux pourraient faciliter les infections. Le débat scientifique doit donc être ouvert et réglé avant de prendre des décisions hâtives, plus politiques que sanitaires ».

Conclusion : « Avec le Covid, nous semblons avoir oublié les principes de base de la médecine et de l’immunologie »

Merci Docteur !

Prendre en charge les malades, les soigner au moyen des traitements existants, privilégier les vaccins à moindre risque, ne vacciner que la population à risque et en respectant ses droits, maintenir une démocratie sanitaire (et une démocratie tout court) attentive et apaisée ?

Oui mais alors, le Pfizer de force pour tout le monde, les discours sentencieux, les cellules secrètes, les claquement de talons, alors tout ça, ce serait fini ?

Zut alors !

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/crise-sanitaire-nous-payons-un-envahissement-de-la-bureaucratie-au-detriment-des-soins-de-terrain-20210914