Anxiété organisée en Suisse ?

Passons sur les mesures délirantes prises par la Confédération Suisse pour barrer la route d’une vie normale aux non-vaccinés, dans le même temps où (comme ailleurs) les autorités sanitaires se refusent obstinément à reconnaître que les vaccinés sont aussi malades et contagieux que les autres et, surtout, que ce pseudo « vaccin » ARN ne vaut pas tripette.

Nous en avons déjà évoqué longuement les errances criardes. De même que nous avons aussi évoqué la folie totale de tests PCR répétés à 40 cycles (quand ce n’est 45 !) et donc la création volontaire ex nihilo et en masse de faux positifs : https://basta-covid.fr/gros-sabots-plombes/

Mais il y a plus obstiné encore : le chef de la section Gestion de crise et collaboration internationale de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) ajoute à l’angoisse générale en insistant sur le fait, que selon lui «plus de deux tiers des personnes hospitalisées dans les unités de soins intensifs en Suisse sont des patients Covid ».

Et cette affirmation anxiogène est immédiatement reprise par le Temps, et diffusée largement.

Or rien n’est plus faux puisque les sources officielles disent au contraire que les patients Covid occupent :

– 36,5 % des soins intensifs totaux (c’est-à-dire du cumul des réanimations, des soins de surveillance continue et des soins intermédiaires)

–  7,5 % de la capacité hospitalière totale.

Les chiffres réels étant suffisamment sérieux sans qu’il soit nécessaire de dramatiser encore davantage la situation, on peut légitimement se demander quel est le but poursuivi par ce genre de communication …

Faire peur pour forcer les réfractaires à l’injection ?

Si tel était le cas, la démarche serait singulièrement idiote : une dramatisation à ce point voyante et contraire aux faits va au contraire éloigner les réfractaires de l’autorité sanitaire ….

https://www.letemps.ch/monde/continu-lofsp-recommande-une-dose-rappel-4e-mois

https://www.covid19.admin.ch/fr/overview